On est passé au stade trois,
Les restos et les bars ferment.
Pour ne plus partager ses germes,
On se retranche chez soi.
Pourtant les urnes sont ouvertes :
Ce matin, qui va voter ?
Malgré tous les soins apportés
La décision déconcerte.
C’est encore pire en Espagne
Où l’on avait trop tardé.
On ne peut plus y circuler.
De chacun, chacun s’éloigne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Dès que vous aurez écrit un commentaire, un message me préviendra et je le publierai.